ARMEMENTS 1939-1945

ARMEMENTS 1939-1945

CHARS D'ASSAUT


CHARS FRANÇAIS ET BRITANNIQUES 1939-1945

Les Français et les Britanniques avaient été les pionniers des chars de combats, dans le domaine des techniques comme dans celui des mises en œuvre tactiques. Pourtant à la veille du second conflit mondial, ces deux pays avaient perdu leur avance.

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FRANCE

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Char Hotchkiss H-35 H-39 Armé du SA 38 37 mm L33 était un bon char pour l’époque. Il n’avait qu’un seul inconvénient, le chef de char devait aussi mettre en œuvre le canon.

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 Défilé de H-35. Ce char était en dotation dans les unités mécanisées françaises. A cause de son canon, il aurait et plus utile dans un rôle de reconnaissance que dans celui d’appui à l’infanterie. 

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Le char Renault R-35 pour les concepteurs du R-35, la guerre de blindés n’avait pas beaucoup changé depuis 1918.

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Le char Samua S-35 char moyen un autre bon char français en dépit du fait que le chef de char devait mettre en œuvre le canon.

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En 1940, un grand nombre de Samua furent endommagés ou abandonnés comme celui-ci. Les Allemands trouvèrent des qualités au véhicule et l’utilisèrent quatre ans plus tard contre les Alliés.

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Le char lourd B1-bis les 400 chars B1 de l’armée de terre française auraient pu devenir une force de frappe redoutable en 1940.

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Le char B1 pouvait se mesurer à tout char allemand, mais son efficacité souffrit de sa pauvre maniabilité.

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ROYAUME-UNI

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Le char léger Vickers armé d’une mitrailleuse Besa 15 mm et d’une mitrailleuse coaxiale de 7.92 mm, le char léger Vickers était bien adapté à la reconnaissance blindée.

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Après de lourdes pertes en France dues à un  rôle d’appui rapproché à l’infanterie qui n’était manifestement pas le sien, le Mk VI termina sans gloire sa vie opérationnelle au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

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Le char léger Mk VII Tetrarch à l’origine un projet privé de Vickers, le Tetrarch fut mis en production en dépit d’un blindage mince, d’un armement peu approprié et d’un rôle mal défini. Il servit à Madagascar et en U.R.S.S. avant de devenir le premier char aéroportable britannique.

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Transporté dans le planeur Hamilcar, le Tetrarch fut utilisé par les forces aéroportées britanniques pendant le débarquement en Normandie. Le Tetrarch avait un embout Littlejohn monté sur son canon de 2 pour accroître la vitesse initiale et favoriser ainsi la pénétration des blindés.

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Le char d’assaut Mk VI Crusader fut le premier char britannique à être armé d’un canon efficace, le canon de 6. Parmi ses points forts, notons la suspension qui était si bonne que l’on pouvait excéder sa vitesse maximale théorique.

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On voit ici deux anciens modèles de Crusader photographiés côte à côte au cours de l’opération Crusader.

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Le char d’assaut Mk VIII Cromwell fonce à travers un village de Normandie en août 1944. Armés, à l’origine, d’un canon de 6, les Cromwell étaient dotés pour le jour J d’un canon de 75 mm qui leur donna une meilleure chance de survie contre les blindés allemands. Ces chars entrèrent en service en 1943. Au jour J, ils ne déçurent pas les équipages qui les avaient connus comme véhicules d’instruction lors de leur entraînement.

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Les Cromwell en route pour le front de Normandie en 1944. On dut payer cher les attaques contre les positions allemandes bien protégées en dépit de la la meilleure qualité du blindage britannique.

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Char d’assaut Challenger On pourrait débattre de la laideur de ce projet. Le Challenger était un Cromwell allongé et armé d’un canon de 17. Le blindage avait été réduit pour diminuer le poids. Heureusement pour les équipages britanniques, il fut abandonné au profit du Sherman Firefly.

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Char d’infanterie Mk I et Mk II Matilda était le seul char britannique dont le blindage était capable de résister aux canons antichars allemands dans les premières années de la guerre

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On voit ici un Matilda dans le désert en juin 1941 pendant l’opération Battleaxe qui aurait dû délivrer Tobrouk et au cours de laquelle l’armée britannique perdit 64 Matilda. Robuste mais lent, le Matilda ne brillait pas par son canon de 2 livres.

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Char d’infanterie Mk III Valentine la production en série du Valentine commença en 1940. Ce char participa à toutes les campagnes du désert. C’était un véhicule robuste qui s'accommoda de divers canons pour suivre l’accroissement des calibres.

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Un des premiers modèles Valentine attire l’attention du public tandis que Malte fête l’anniversaire du roi George VI. Le Valentine était un bon char d’avant-guerre qui servit dans le monde entier.

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Le char d’infanterie Mk IV Churchill avait été conçu pour un retour à la guerre des tranchées. C'était donc un char d’infanterie classique : lent mais lourdement blindé.

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Les Churchill dépassent une colonne de Sherman M4 pour se diriger sur le front de Normandie au début d’août 1944. Notez les sections de chenilles sur l’avant de la caisse.

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AUSTRALIE

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Char d’assaut Sentinel AC1 au début de la guerre, l’Australie se trouvait démunie d’une force blindée moderne et d’une infrastructure industrielle. Le Sentinel AC1 était un char de fabrication locale, rapidement mis au point dans l’anticipation d’une invasion Japonaise.

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En dépit de son étude précipitée, le Sentinel AC1 était un char qui innovait une caisse toute en fonte et un armement lourd. Le Mk IV que nous voyons ici était armé d’un canon de 17. Les Sentinel furent utilisés pour l’entraînement des équipages de char M3 et M4.

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CANADA

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Le char d’assaut Ram Mk I, le Canada n’avait pas de force blindée en 1939, mais décida de construire ses propres chars pour doter son armée en expansion. Le char Ram utilisait le châssis du M3 mais avait son propre armement sur la tourelle au lieu de l’encorbellement comme sur les véhicules américains originel.

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Les chars d’assaut avaient été conçus pour les rôles de reconnaissance et de poursuite. Nous voyons ici les tous premiers chars d’assaut MK I A9 mal protégés et pauvrement armés du canon de 2.

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Les chars Matilda accompagnaient les unités d’infanterie britanniques; mais ces blindés étaient vulnérables aux canons antichars allemands. Lesquels bénéficiaient d’une portée plus grande que l’armement principal des Matilda.

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L’armée française disposait de quelques chars de bonne qualité lorsque la guerre de mouvement fut déclenchée par l’offensive allemande en mai 1940. Mais une doctrine d’emploi aberrante conduisit la dispersion des forces et à la défaite. 


16/08/2013
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CHARS SOVIÉTIQUES ET AMÉRICAINS 1939-1945

Nulle part, au cours de la Seconde Guerre mondiale, la force industrielle des deux futures superpuissances n’a autant été mise en évidence que dans la production des véhicules blindés. La fabrication du M4 Sherman américain et du T-34 soviétique se fit à une échelle que les puissances de l’Axe ne pouvaient espérer atteindre.

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ÉTATS-UNIS

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Le char léger M3 était la version la plus répandue du char léger M2/M3 en service au moment de l’entrée en guerre des États-Unis à la fin de l’année 1941. Ce blindé disposait d’un canon de 37 mm et de trois mitrailleuses de défense raproché.

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Les chars de séries M3 et M5 étaient mis en œuvre à des fins de reconnaissance. Le blindé aborde un un barrage improvisé par les Allemands qui défendaient le village de Harze.

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Le char léger M24 Chaffee armé d’un canon de 75 mm, le M24 fut mis en œuvre en très grand nombre à la fin de l’année 1944. Après la guerre, il fut à l’origine d’une nouvelle famille de blindés.

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Char moyen M3 General Lee était le résultat d’une mise au point hâtive, mais il disposait d’un puissant canon.

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La particularité du M3 Grant résidait dans la tourelle qui abritait un poste de radio.

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Char moyen M4A3 fut l’une des versions les plus connues du Sherman mise en œuvre jusqu’en 1945. Il était doté d’un canon de 76 mm. 

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Le char Pershing M26, disposait d’un puissant canon de 90 mm, de trois mitrailleuses et d’un équipage de cinq hommes. Il fut mis en service trop tard pour participer aux combats de la Seconde Guerre mondiale, mais il entra en action en Corée.

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UNION SOVIÉTIQUE

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Le char léger T-70 se révéla être un véhicule de reconnaissance très utile, mais il ne disposait que d’un canon de 45 mm, nettement insuffisant pour contrer les blindés allemands.

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Le char 60, armé que d’un canon de 20 mm ne fut pas un grand succès et connut de nombreux déboires au cours des combats. En outre, il manquait de puissance motrice. Il fut maintenu en service car il était un des rares véhicules dont pouvait disposer l’Armé rouge après le désastre de la campagne de 1941.

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Une des variantes les plus connues du char léger T-26 d’accompagnement d’infanterie était le modèle 1931 qui possédait deux tourelles armées chacune d’une mitrailleuse de 7,62 mm, dont une était quelquefois remplacée par un canon de 37 mm. Le modèle de 1933 ne possédait plus qu’une tourelle.

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Le char moyen T-28 pesait seulement 28 tonnes et son équipage de six hommes ne servait qu’un canon de 76,2 mm ainsi que des mitrailleuses dans deux tourelles supplémentaires en avant de la tourelle principale.

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Le char T-28 fut un grave échec parmi la production soviétique des années 1940 et 1941. Il ne participa pas aux combats, mais fut réservé à des tâches de sécurité intérieure.

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Le BT-7 fut mis en service en 1935 et produit en deux versions principales, toutes deux armées d’un canon de 45 mm. Bien que rapide et maniable, le BT-7 se révéla être trop faiblement armé pour combattre efficacement, mais il permit la mise au point du T-34.

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Le char rapide BT-7 fut le premier char soviétique à incorporer la suspension type Christie et fut à l’origine d’une vaste famille de blindés qui donnera le jour, plus tard, à celles des T-34. La suspension type Christie permettait d’obtenir d’excellentes performances.

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Le char moyen T-34 une des dernières versions du T-34 à entrée en service. Armé d’un canon de 76,2 mm et bien protégé par un blindage soigneusement profilé, le T-34 était un char techniquement en avance sur son temps.

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Un chef de char d’une des premières versions du T-34 cherche son chemin au cours d’un exercice tenu en 1940, quelques mois avant l’invasion de l’Union soviétique. À cette époque, ce char était considéré comme l’un des plus grands secrets militaires du régime et son apparition fut une surprise pour le haut commandement  de la Wehrmacht.

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Le char lourd KV-1 bénéficiait à l’origine d’un canon de 76,2 mm monté sur un châssis qui allait être ultérieurement repris pour d’autres chars lourds. Il existe plusieurs versions de modèles simplifiées.

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Le char lourd T-35 les dimensions considérables peuvent être appréciées ici, une machine endommagée et capturée par les forces allemandes. La tourelle principale possède un canon de 76,2 mm aux médiocres capacités antichars. Deux tourelles plus petites abritent des canons de 37 mm ou de 47 mm.

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Le char lourd IS-2 fut mis en service au sein de l’armée Rouge au cours de l’année 1944 et devint le plus puissant de tous les chars soviétiques. Il était armé d’un redoutable canon de 122 mm, d’une tourelle bien protégée et d’un équipage de quatre hommes.

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Le canon de 122 mm et la tourelle au blindage bien profilé faisaient du IS-2 une fantastique machine de guerre. La photographie, prise en face des ruines du Reichstag, est un symbole.

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En Italie, un char américain M4 Sherman avance en direction de la ligne Gothique. En dépit de la vulnérabilité face aux blindés allemands, le Sherman fut produit en très grand nombre, ce qui lui permit, après le débarquement de Normandie de rétablir la balance des forces en sa faveur.

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Un M4 doté d’un lance-flammes, la grande majorité desquels prenait la place de la mitrailleuse avant. Néanmoins, le Sherman ici a son tube lance-flammes à l’intérieur d’un vieux canon de 75 mm.

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Dans la tentative de fournir un appui feu à ses chars, l’Armée rouge mit en service le KV-2, un châssis KV sur lequel était monté un obusier de 152 mm dans une tourelle fermée. Cette combinaison ne se révéla pas une réussite.

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Les rudes combats livrés contre les finlandais prouvèrent que le T-100 et le SMK manquaient de qualités militaires et ne pouvaient donc remplacer le T-35. Par ailleurs, les enseignements tirés de ce conflit conduisait à abandonner le principe de la tourelle double, ce qui aboutit à la mise au point des séries de blindés KV qui ne cesseront de s’améliorer au cours de la guerre. 


15/08/2013
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CHARS DE L’AXE 1939-1945

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le char d’assaut devint une arme omniprésente sur les champs de bataille. Son nouveau rôle apparut avec la mise en pratique des principes du Blitzkrieg, dont le succès bouleversa la pensée militaire. Les tacticiens comprirent que le char et, surtout son mode d’emploi pouvaient décider de l’issue de la bataille.

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TCHÉCOSLOVAQUIE

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Le lt VZ 35, char léger, Le Pz 35 t qui a équipé la 6e division de panzers lors de la campagne de France. Quelques-uns de ces engins étaient encore en service au cours de l’année 1942.

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Mis en œuvre par deux divisions de Panzers le TNH P-S au cours des campagnes de 1940, le PzKpfw 38 t demeura en production jusqu’en 1942. Par la suite, le châssis de l’engin fut utilisé pour la fabrication de canons automoteurs.

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Un PzKpfw 38 t photographié pendant la campagne de France. Ce char fut mis en ligne pat les 7e et 8e divisions Panzers.

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ALLEMAGNE

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Deux PzKpfw I au cours d’une progression dans les rues d’une petite ville française; 523 de ces petits chars furent employés en 1940.

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Le Panzer II, char léger, conçu pour servir de machine d’entraînement, le PzK pfw II fut massivement mis en œuvre par la Wehrmacht au cours des invasions de Pologne et de France.

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Armé d’un canon de 20 mm, plus de 1000 PzK pfw II constituèrent le fer de lance de la Wehrmacht au cours de la campagne de Pologne.

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Le Panzer III, char moyen et des fantassins avancent en direction des lignes soviétiques pendant l’offensive allemande du printemps 1942. Les blindés de la Wehrmacht eurent à faire face à l’excellent blindé soviétique T-34.

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Le Panzer Ausf G, tel qu'’il était mis à la disposition de l’Afrikakorps. Il se révéla plus adapté à la guerre du désert que ses adversaires britanniques.

 

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A partir de l’année 1943, le Panzer IV char moyen reçut un canon long KWK 40/L48 de 75 mm qui permettait au char de faire face à la majorité des blindés adverses.

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Protégés par un Panzer IV des Panzergrenadieren avancent dans un champ de maïs lors de l’offensive en direction du Caucase.

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En Russie des réparations d’urgence sur les arrières du front. Le char dispose d’un canon court de 75 mm. Cette arme était insuffisante pour mettre hors de combat les blindés soviétiques.

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La dernière version du Panzer V Panther char lourd, sortie des chaînes de montages en 1945. Le char est recouvert de pâte antimagnétique Zimmerit caractéristique de la fin de la guerre.

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Un Panther capturé par les Alliés au cours de la bataille de Normandie; 4 800 exemplaires de ce blindé furent construits durant la Seconde Guerre mondiale.

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Le Panzer VI Tiger, char lourd, doté d’un puissant canon de 88 mm et d’une protection blindée très efficace, le Panzer VI Tigre était une arme redoutable, en particulier entre les mains d’un équipage aguerri.

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Des Tigre d’une unité blindée de la Waffen SS en position sur le col de Brenner; les Alliés venaient de débarquer dans la péninsule.

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Le Panzer VI Tiger II, char lourd un Königstiger doté d’une tourelle Porsche. Faisant appel aux meilleures techniques de blindage et mettant en œuvre un canon long de 88 mm à haute vitesse initiale, le Tigre II pouvait mettre hors de combat tous les chars alliés.

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Un Tigre doté d’une tourelle Henschel passe le long d’une colonne de prisonniers américains.

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ITALIE

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Le char léger Fiat L 6/40, était armé d’un canon de 20 mm et d’une mitrailleuse de 8 mm.

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Le char léger Fiat L 6/40 italien hors de combat est inspecté par des soldats australiens. En dépit de son armement insuffisant, ce blindé fut mis en ligne en Afrique du Nord et en Union soviétique.

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Le char moyen Fiat M 11/39 et M 13/40, en dépit de son canon de 47 mm et de ses deux mitrailleuses de 8 mm, le M 11/39 fut rapidement surclassé par les nouveaux chars alliés.

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Le M 13/40 en formation; il s’agit d’un blindé de commandement, sans tourelle mais disposant d’un important équipement radio.

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Char moyen Fiat 15/42, abandonné après la première bataille d’El-Alamein, le M15/42 reprenait la configuration générale du 14/41.

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Un escadron de 14/41 en Cyrénaïque au cours de l’année 1942. Plus de 1 100 exemplaires de ce char furent construits par les Italiens.

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JAPON

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Le char léger Type 95 était doté d’un canon de 37 mm, d’une mitrailleuse de 7.7 mm dans la caisse et d’une autre à l’arrière de la tourelle.

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Au cours de manœuvres des chars Type 95 traversent à grande vitesse des rizières. Ce blindé était adapté au soutien de l’infanterie.

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Un char Type 95 circulant sur une route de Mandchourie. Les conquêtes japonaises ont été facilitées par le fait que sur le théâtre d’opérations du Pacifique, aucun des adversaires de l’empire du Soleil levant ne disposait de blindés ni d’armes antichars efficaces.

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Le char moyen Type 97 détruit lors d’un débarquement amphibie américain dans une des îles du Pacifique. En avance sur son temps par sa configuration, le char ne disposait pas d’un canon aux performances adéquates.

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Une colonne de chars allemands avance dans la rue principale d’un petit village russe. La campagne de l’été de 1941 fut le point culminant de la Blitzkrieg. Mais le retard imposé par l’initiative de Mussolini en Grèce empêcha d’obtenir la victoire avant l’hiver.

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Un Sherman américain passe devant un Panther hors de combat. Il fallait le plus souvent cinq Sherman pour détruire un Panther.

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Pendant la bataille de Normandie, des Panther s’apprêtent à monter en ligne.  


05/08/2013
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